Auteur : Jean-Christophe Rufin
Sur une même trame que L’entreprise des Indes : un vieil homme couche sa vie par écrit avant de mourir, nous suivons ici le destin étonnant de Jacques Cœur.
Auteur : Jean-Christophe Rufin
Sur une même trame que L’entreprise des Indes : un vieil homme couche sa vie par écrit avant de mourir, nous suivons ici le destin étonnant de Jacques Cœur.
Un polar comme beaucoup d’autres avec des aventuriers séducteurs (mais hyper balèzes en hiéroglyphes et grec ancien) et quelques jolies filles, des méchants cruels, un enjeu géopolitique. On secoue et hop on a le Tombeau d’Alexandre.
Un groupe d’amis se retrouve dans la petite ville où ils ont passé leur enfance et adolescence. Certains n’en sont jamais partis, d’autres y reviennent. Ils ont aujourd’hui la trentaine et vont se retrouver, pour diverses raisons, à un croisement de leur vie qui marquera pour certains le début de leur vie d’adulte.
Chronique familiale et de la Russie du 20ème siècle, autobiographie, analyse du pouvoir de la littérature et vision mythique de la France vue du fin fond des steppes russes, ce roman (?) peut être appréhendé de mille manières.
30 ans après son départ d’Haïti, Dany Laferrière nous conte son retour dans son pays natal, qu’il (re)découvre, pour se rendre compte que finalement peu de choses ont changé.
Un jeune inspecteur mélancolique et sans illusion enquête sur la mort accidentelle (?) d’un écrivain.
Entre Naples sous la pluie et le Mexique sous la pluie, une brève éclaircie va illuminer brièvement la vie Maliconico avant de se refermer sous la pluie avec avec plus d’envie.
Certains problèmes de Malinconico vont être résolu au cours de son périple, mais assez peu concernant son enquête. C’est finalement moins un polar qu’une roman sur le spleen d’un personnage, sans le côté glauque car Malinconico manie le second degré et l’ironie avec dextérité. Tout comme Arpaia.
S’il y a une suite, je fonce.
Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas lu Annie Ernaux. Au lycée je pense. Mais j’en avais toujours gardé un souvenir particulier. Et je n’ai pas été déçu de ces retrouvailles, bien au contraire.
Auteur: Erik Orsenna
Autant le dire tout de suite j’aime bien Erik Orsenna. Il a un style bien à lui pour raconter des histoires, en les prenant en général par un bout original.