En utilisant la parabole de l’histoire de Frankenstein (mais aussi d’autres comme Pinocchio ou Alice au Pays des merveilles) Philippe Meirieu propose un belle réflexion sur l’acte pédagogique.
C’est bien écrit – dans le sens où c’est généralement compréhensible par un non universitaire – illustré d’exemples réels et de synthèses récapitulant le propos de chaque chapitre.
C’est bougrement bien fait et enrichissant.