Quand le binôme de Narcejac remet en selle Arsène Lupin, on ne s’ennuie pas. Lupin non plus d’ailleurs. Toujours bondissant, toujours aussi sûr de lui, toujours mêlé à des histoires incroyables.
Un secret est tapis au cœur d’un manoir normand et tous les propriétaires de cet demeure décèdent les uns après les autres. Lupin, par son grand cœur décide de tout faire pour que la dernière (jeune) héritière puisse jouir de son bien en paix.
Cette fois-ci il est au prise avec un ennemi insaisissable, presque autant que le mystère que les deux cherchent à résoudre. Il va y avoir des morts, des surprises et des trahisons avant que le mystère ne se dévoile… et déclenche une fois de plus le malheur.
J’avais un très bon souvenir du Lupin de Maurice Leblanc ; la version Boileau n’est pas mal non plus. Peut être que lupin y gagne un peu en épaisseur et en roublardise.