Nicolas le Floch est confronté ici à une sombre histoire de famille qui mêle une fois de plus le roman policier avec des événements historiques.
On y croise les personnages habituels, mais aussi la nouvelle favorite du roi, un indien des ex colonies françaises d’Amérique et un exorciste.
Les histoires s’enchevêtrent et l’enquête liée aux événement purement historique n’est finalement qu’annexe et d’ailleurs réglée à la va vite. Un événement particulier intervient toutefois dans cette aventure : un exorcisme. Décrit précisément, il fait apparaître un nouveau personnage qui reviendra peut être tant il semble être en phase avec les autres second rôle de la série : il exerce un métier étonnant et il adore la bonne chère. Ce qui est bizarre c’est que cette scène d’exorcisme prend une place importante dans le roman sans toutefois apporter une vraie plus value à l’intrigue.