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La nuit du mal

Le second tome de la trilogie intitulée sobrement « la saga du soleil noir » s’était ouverte avec Le triomphe des ténèbres. On retrouve les protagonistes de l’épisode précédent, toujours à la recherche de mystérieuse reliques – dont n’ai toujours pas compris ni d’où elles viennent ni à quoi elles servent – le mystérieux et BG Tristan Markas (alias John Dee), la belle et méchante archéologue nazie, la belle et assoiffée de revanche résistante française (toutes deux, évidemment amoureuse du premier). Hé oui, on est dans une espèce de James Bond, les héros sont beaux. Mais j’y reviendrai.

En complément on suit la montée au pouvoir d’Hitler et les imbrications ésotériques de la mythologie nazie (la société de Thulé).

Ce second tome nous emmène en Crète, en Allemagne, à Londres et à Venise ou se déroulera la conclusion temporaire.

Un gros clin d’oeil est fait à James Bond puisqu’on y croise Ian Fleming, alors agent du renseignement naval anglais. Evidemment, puisque c’est la marque de fabrique de ces auteurs, les société secrètes et l’occultisme ont la part belle, avec notamment le recrutement par le SOE de Aleister Crowley qui servira d’agent double.

J’avoue que le style d’écriture me fatigue un peu avec des chapitres très courts (quelques pages) qui se terminent tous en cliffhangers et un peu trop artificielle à mon goût. C’est néanmoins très efficace et je serai étonnée qu’il n’y ait un pas un producteur Netflix qui veuille en faire une adaptation tant c’est stéréotypé.

Note : 3.5 sur 5.

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